Je m'ennuie

Théodore s'ennuyer ferme. Il n'avait rien à faire ici. Pas une fille à draguer. Pourquoi il avait choisit un internat réserver qu'au mec. Quel con! Il ne voyais aucun mec interressant pour se faire passer pour une fille. Pourquoi il est pas aller à Kibe pour aller chez les filles? Là-bas il aurait pu faire un malheur et les avoir toutes à ces pieds.

Il jeta un regard intense à toutes les personnes qui passe dans les couloirs mais toujours personne d'interessant. Il aurait bien voulu écouter de la musique mais il avait oublier son lecteur MP3 chez lui et il n'avait pas envie de demander à ces parents de lui envoyer. En pensant à ces parents il commençat sa colère éclater et il essaya de se controler. Au moins ici ils pouvaient pas l'embêter et ça c'est le pied.

Donc toujours seul, toujours en train de s'ennuyer, il s'ammusa avec ses boucles d'oreilles et sa bague. IL avait tout pour se faire passer pour une fille à par la poitrine. Il soupira. Pourquoi il pensait à ça maintenant. Mais *****, que quelqu'un d'interessant vienne l'aborder. Il avait la flemme de bouger en premier et il est plus qu'obtus donc il attends et bien sûr rien. Vive les cours pour qu'ils puissent mettre de l'ambiance parce que là, il s'emmerder. Donc il continua à s'amuser avec ces bijoux en attendant.

Aristide avait réussi à laisser son jumeau en plan dans un coin de l'internat pour ne plus l'avoir sur le dos. Il avait bien vu qu'il stressait, et quand Reinhard est trop stressé, il frappe sur tout ce qui bouge. Aristide eut quelques remords pour avoir abandonné son frère aux malheureux qui passeraient trop près de lui, mais il avait envie de faire autre chose que surveiller Monsieur Antisocial. Il le ferra plus tard dans la journée, là, il voulait être un peu tranquille.

L'aqualien se baladait donc dans les couloirs du rez-de-chaussée, comme ça, pour visiter, quand il aperçu une jolie jeune fille. Il devait avouer qu'elle était assez plate, mais qu'est-ce quel canon ! Il s'appuya contre le mur à côté d'elle et fit son sourire ravageur de dragueur looser. Quoique, ça aurait put le faire, mais il faut avouer que son look gothico-punk n'allait pas vraiment avec ses nageoires. Mais Aristide était persuadé qu'il était à tomber (pourtant il s'en était pris des râteaux).

Salut poupée, regard tombeur. Tu es perdue ? C'est rare de trouver une si jolie fille dans un internat pour garçons.

Théodore hésitait. Laissait-il le garçon penait que c'est une fille ou il s'amusait à le casser.

Nan, je suis pas perdu! Là où je suis je peux trouver tout ce que je veux. Dit-il avec une voix très féminine. Il s'était tellement entraîner qu'il avait la voix qui fesait vraiment féminine.
D'ailleurs je crois avoir trouver quelque chose ajouta-t-il avec un regard profond.

Il avait dit ça sans réfléchir et je ne sais pas pourquoi mais il sentait que c'était plutôt une mauvaise idée. Il résista à un frisson et se claqua intérieurement. Il avait déjà fait ça une centaine fois et à chaque fois il avait bien rigolé.

Aristide se rapprocha tout doucement de la belle jeune fille avec son plus beau sourire. Elle crois avoir trouvé quelque chose ? Mais oui bien sûr, lui ! Qui d'autre cela pouvait-il être ? Mais la jeune fille devait être bien trop timide pour l'avouer.

Ah oui, tu m'as trouvé, moi. Sourire charmeur. L'amour.

Qui a dit que Aristide était doué en matière de drague ? Même après ses nombreux râteaux il n'avait toujours PAS comprit que sa technique était minable. C'était si désespérant qu'on avait envie de lui coller des baffes et lui dire "rentre chez ta mère !".